Regardez: Les lesbiennes s'aiment aussi dans les webséries (1/3)
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Regardez: Les lesbiennes s'aiment aussi dans les webséries (1/3)
Fatiguées de voir éternellement les mêmes intrigues hétéros à la télé? Pensez au net! TÊTUE a recensé pour vous les webséries lesbiennes qui valent le coup d’œil. Première partie de notre sélection avec celles qui parlent d'amour.
La toile regorge de webséries lesbiennes anglophones, gratuites ou non, que l’on peut regarder à toute vitesse et qui compensent un peu la fin de The L Word. C’est aussi l’occasion de réviser son anglais... TÊTUE vous propose une liste, non exhaustive bien entendu, de ces pépites du web. Mais aussi des webséries dont on peut se passer. Première partie de notre sélection avec celles qui parlent d’amour! Et retrouvez vendredi prochain le deuxième épisode de notre tour d'horizons des webséries lesbiennes.
The Newtown girls
Dans The Newtown girls (photo ci-dessus), Scarlet rentre tout juste de voyage pour retrouver sa petite ville très lesbienne en Australie et sa meilleure amie, Alex, avec qui l’ambiguïté est évidente dès le premier épisode. La saison 1 de cette websérie financée par les fans, sur internet, s’est terminée au début d’année et on attend déjà la suite. C’est léger, jeune (un peu trop par moments?) et réussi. On dévore les huit épisodes avec le sentiment de retomber en adolescence et on sourit des bonnes résolutions de Scarlet, qui décide de ne boire que des infusions, de faire du yoga, de trouver l’âme sœur... et qui finit par se saouler en boîte pour oublier que son ex a une nouvelle copine. Les intrigues sont souvent attendues, mais les actrices sont si jolies que c’est vite pardonné.
Anyone but me
Un autre casting jeune et charmant est à voir absolument dans Anyone but me (photo ci-dessus). Le finale de la troisième saison a été diffusé en mars, tandis que TÊTUE vous l’avait déjà présentée comme «la star des webséries lesbiennes». Deux ados, Vivian et Aster, entretiennent une relation à distance après le déménagement de la première, avec toutes les complications que cela implique. Intelligent et attendrissant.
I hate Tommy Finch
On retrouve d’ailleurs celle qui interprète la belle Aster, Nicole Placent, dans I hate Tommy Finch, une websérie en cinq épisodes tournée cette année d’après une pièce de théâtre qui se joue à Chicago. On y suit deux meilleures amies sur une période de 25 ans: elles grandissent, se rapprochent et s’éloignent, font leur coming out... On assiste à leur disputes et leurs moments forts, leurs discussions sur le mariage, sur l’amour. Une fois de plus, tout repose sur la fine ligne entre amour et amitié. C’est beau, c’est bien écrit et c’est bien joué. I hate Tommy Finch est à regarder en accès payant sur Tellofilms.
Good people in love
L'autre actrice principale de Anyone but me est aussi dans Good people in love (où joue aussi l'actrice de la websérie Seeking Simone). C'est un genre à part, façon huis clos. Cinq épisodes relatent un seul et même dîner, le soir d'été où la loi sur le mariage entre personnes de même sexe est votée dans l'Etat de New York. Les tensions montent entre amis et sœurs, autour de visions opposées sur l'amour et le couple. La soirée est sombre, parfois dure à mesure que les natures se dévoilent. Si la série est terminée, son sujet reste atemporel.
The grass is pinker
The grass is pinker (photo) met en images les rêveries d’une jeune fille qui fantasme sur sa collègue de bureau. La websérie sort du rang et fait preuve d’un peu d’audace, avec une scène de cunni sous la couette dès le premier (et unique pour l’instant) épisode. Mais passée cette qualité qu’on souhaiterait moins rare, The grass is pinker peine à convaincre. Son manque de moyens est trop apparent, la musique est médiocre et le piètre jeu des acteurs empêche d’entrer dans l’intrigue. A éviter.
Retrouvez vendredi prochain la suite de notre tour d'horizons des webséries lesbiennes.
Photos: captures d'écran.
Par Mathilde Fassin vendredi 01 juin 2012
Source : http://www.tetu.com
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